"Il y a plus de bonheur à donner qu'à recevoir" dit-on couramment . Est-ce votre expérience personnelle ?

On ne devait pas paraître devant Dieu les mains vides . Est-ce à dire que Dieu était un Dieu avide d'argent, de biens, qu'il n'accordait ses faveurs qu'à ceux qui pouvaient payer . Remarqouns :

1. Chacun donnera ce qu'il pourra . Rien n'est imposé, contrairement à certaines sectes qui exigent, imposent, et s'approprient souvent la totalité des bien de ceux qui tombent entre leurs "griffes".
2. Ce que le peuple doit offrir, il le reçoit premièrement de Dieu : "Tout vient de toi, et nous recevons de ta main ce que nous t'offrons" (1 Chronique 29:14). Selon cette règle, le peuple est assuré d'avoir toujours quelque chose à offfir à Dieu . Celui qui se présente les mains vides est celui qui ne sait pas reconnaître les bénédictions de Dieu sur sa vie .

Si je n'ai rien à offrir, si mes mains sont vides, puis-je me demander pourquoi ?

QLSVB !

Il est douloureux, mais vrai que sans la présence réelle de Jésus, l'homme est le jouet impuissant de Satan . Ce n'est pas pour rien que Jésus a enseigné à se disciples de prier : "...délivre-nous du malin..." (Matthieu 6:13).

Une expérience spirituelle ne suffit pas (v.24) : Un homme a été délivré d'un esprit impur(v.5), sa maison, sa vie, tout a été balayé et orné . On a envie de crier : alléluia...!

C'est une rande erreur de sous-estimer l'ennemi (v.26). Une défaite occasionnelle ne suffit pas à le faire capituler définitivement . Il revient, et avec lui sept autres esprits plus méchants que lui, et réoccupe cette vie, ce coeur qui avait été purifié et sanctifié.

Comment un tel désastre est-il possible (v.26) au point que "la dernière condition soit pire que la première" ? La tragédie se trouve dans le fait que nous ne LUI avons pas donné l'occasion de "...demeuree en nous" (Jean 15:4 . Et si Jésus est absent de notre coeur, l'ennemi ne tarde pas à occuper sa place.

"Heureux ceux qui  écoutent la parole de Dieu et qui la gardent..." . Ne nous contentons pas de faire occasionnellement une expérience spirituelle formidable, mais permettons à Jésus de demeurer toujours en nous .

QLSVB !

Le centre du culte doit être la louange . Nous nous rassemblons pour contempler la gloire de Dieu, même si, aujourd'hui, nous ne pouvons que la pressentir, spécialement à travers ses oeuvres . Les créatures célestes d'Apocalypse 4 le louent d'être le Créateur de toutes choses : infiniment grand des astres innombrables, infiniment petit encore inexploré . Et qui ne s'est pas émerveillé l'oeil fixé à l'occulaire d'une lunette astronomique ou d'un miscroscope ?

Mais l'homme aussi est l'objet de Ses mains . David s'en émerveillait aussi en ces terms : "Je te loue de ce que je suis une créature si merveilleuse " (Psaume 139:14) . Les anges louent-ils Dieu de nous avoir créés...si cela malgré la déchéance que nous a valu le péché ? Oui . Car tout ce qu'Il a créé en nous et tout ce qu'Il a permis sert un plan non moins excellent .

C'est pourquoi, joignons-nous à la louange des êtres célestes et adorons Dieu tout d'abord en sa qualité de Créateur .

QLSVB !

Le verset repris ci-dessus répond à trois questions :

1. Qu'est-ce que je serre  ?  Ta Parole ! Serrer, c'est placer en un lieu sûr (serrer du linge, serrer une récolte). C'est conserver avec soin . Ce n'est pas la parole de l'homme, mais la Parole de Dieu, du Dieu vivant éternellement : c'est le plus grand trésor du monde !

2. Où est-ce que je la serre ?  Dans mon coeur ! Non pas dans ma tête mais dans mon coeur, siège des affections, centre de l'être moral, source de tout ce qui nous influence . Ce n'est pas sous le lit, sous le boisseau ou dans la terre .

3. Dans quel but ? Afin de ne pas pécher contre toi ! C'est le but le plus important de la vie . Le psalmiste avait en horreur le péché . La sauvegarde la plus puissante contre le péché, c'est :

LA PAROLE DE DIEU DANS LE COEUR

QLSVB !

Il n'y a pas de guerre lorsqu'il existe qu'un seul belligérant . Refuser la bagarre est une bonne chose : refuser une pensée mauvaise est encore meilleur car la pensée produit l'action . Travailler acrivement pour la paix est encore le meilleur moyen sinon le seul moyen de la répandre .

La répréhension fraternelle est indispensable pour maintenir l'harmonie mais aussi pour élever bien haut l'étendard de la sainteté au milieu du peuple de Dieu . Lorsque cela est accompli fidèlement, la souffrance des amputations est évitée . Le corps local reste sain et sa santé se manifeste dans l'unité de ses membres . Mais que dire des douleurs provenant par le manque de courage et de fidélité à la Parole ? Les infidélités se multiplient, l'église perd de sa puissance et, malgré le nombre, le Seigneur ne peut plus être là que pour deux ou trois.

Remarquons la totalité du pardon . C'est celui que l'homme doit demander à Dieu pour son prochain . Un pardon qui se souviendrait serait un leurre : il ne nous permettrait plus la moindre assurance devant Dieu.

QLSVB !