Sommes-nous capables de choisir ?

En fonction de quoi étabissons-nous nos choix ? Dans le but de mieux vivre ? de réaliser nos projets, ce que nous espérons ou souhaitons ? Pour servir le but que nous poursuivons ?

Notre expérience est là pour prouver, si besoin est, que la réalisation la plus complète de nos projets n'est pas à même, bien souvent, de nous apporter la satisfaction que nous en attendions . Nous serions-nous trompés ?

Connaissions-nous les véritables besoins de notre coeur pour pouvoir les satisfaire ? Savons-nous exactement ce qu'il nous faut pour faire taire en nous ce sentiment d'insastifaction ? La Bible affirme :"Dieu sait ce dont nous avons besoin", mais acceptons-nous ses conseils, ses propositions qui nous paraissent parfois sans rapport avec nos aspirations réelles . Dieu a dit : "JE SAIS".

Un choix qui peut nous paraître négatif, peut s'avérer le meilleur, l'inverse est aussi vrai (Génèse 13:12-13) .

Quand nous devons choisir, en fonction de quoi le faisons-nous ? Accordons -nous notre confiance à Dieu quelle que soit sa proposition ou ne lui obéissons-nous que lorsque son choix correspond au nôtre ?

QLSVB !

Ces oeuvres, est-ce à nous de les imaginer, de les concevoir, alors qu'elles sont déjà ptéparées par Dieu ? Elles sont en réserve .

Nombreux sont les gens qui vivent en marge du réel . Ils se fabriquent un monde utopique, comme ce qui est souhaitable était vraiment la réalité . On dit souvent d'eux : "ils marchent à côté de leurs chaussures" . L'expression est plus bibliquq qu'elle semble d'abord. En effet, il est recommandé au chrétien de "mettre pour chaussures à ses pieds le zèle que donne l'Evangile de paix"  (Eph. 6:15) . En quoi consiste ce zèle ? A courir n'importe où ou, pour faire n'importe quoi, même si c'est sous l'aspect d'un service pour Dieu ?

C'est là où, en tant que chrétien, nous risquons de "marcher à côté de nos chaussures" .

Prier, sonder l'Ecriture, rechercher la volonté de Dieu pour pouvoir entrer dans le plan qu'Il a formé pour chacun de nous, avant d'entreprendre quoi que ce soit, n'et-ce pas "mettre à ses pieds les chaussures de Dieu et de Son Evangile" pour pouvoir accomplir nos oeuvres, préparées d'avance par Dieu !

QLSVB !

S'occuper d'un feu de cheminée est non seulement agréable, mais instructif. J'y vois de nombreuses illustrations de la vie chrétienne, surtout communautaire .

Par exemple, l'ordonnancement des morceaux de bois se trouve quelque peu dérangé, lorsque les flammes ont commencé à les ronger. Plusieurs d'entr'eux, déséquilibrés, basculent à l'écart .Si je ne les remets pas tout de suite au centre du foyer, leurs flammes déclinent, s'éteignent et...ça fume.

Comme souvent, ces morceaux se trouvent à la limite, et même en dehors de la hotte, la fumée se répand dans la pièce, pique les yeux et la gorge . C'est désagréable.

N'est-ce pas ce qui nous guette si, pour des raisons injustifiables, bibliquement, nous nous éloignons de l'assemblée ? Au lieu de "briller comme des flambeaux" (Ph.2:15) avec les frères et les soeurs, nous risquons de répandre la fumée de notre insatisfaction, de nos critiques, de nos interprétations personnelles de la Bible, d'une conception erronée de la vie chrétienne.

Dans la Bible, à une exception près (Ap. 8:4), la fumée est symbole de colère (2 Sam 22:9), d'irritation (Es. 65:5), de jugement, de souffrance (Apoc.14:11 / 18:9).

QLSVB !

Notre corps est composé de chair et d'os.

Le squelette permet à l'homme de se mouvoir assurant ainsi une parfaite cohésion de l'ensemble . Celui qui se casse un bras ou une jambe peut en éprouver de la douleur et se rendre compte que le membre est hors d'usage.

Nous voyons dans le Psaume 51, versets 1 à 14,  que le péché de David était si lourd qu'il avait l'impression que tous ses os étaient broyés sous son poids . Ceci est une parfaite illustration de notre état spirituel quand nous n'avons plus la paix avec Dieu . Nous n'avons plus de joie . Tel un membre brisé, nous souffrons er nous devenons immbiles et inutilisables.

Mais l'Esprit Saint (Rom 5:4) nous fait connaître l'Amour immense de Dieu pour nous . Si nous sommes infidèles, Lui, demeure fidèle et juste pour nous pardonner (1 Jean 1:9).

Sa puissance extirpe les racines du péché en nous et nous donne par sa grâce la joie de rpartir avec Lui, reconstitué et remplis du Saint-Esprit pour accomplir la mission qu'Il nous a confiée.

Amen !

QLSVB !

Est-il si difficile que cela de prier, que nous privions notre Dieu de cette odeur qui lui est agréable ? Pourquoi les jours passent-ils sans que nous prenions le temps de rechercher la face du seigneur ; ou, l'ayant trouvée, de demeurer dans sa présence, suppliant, luttant, adorant.

Les paroles du pasteur Adolphe Monod sur son lit de mourant sont bouleversantes :

"O mes amis, je ne sais si vous serez aussi profondément humiliés que je le suis en me rappelant ce qu'ont été mes prières, auprès de ce qu'elles auraient dû être . Ah ! Si je revenais à la vie, je voudrais, avec le secours de Dieu, donner à la prière beaucoup plus de temps que je n'ai fait, et me reposer sur elle beaucoup plus que sur le travail, que nous ne devons cependant jamais négloger, mais qui n'a de force qu'appuyé et animé par la prière..."

Ne nous détournons pas de ces exhortations, qui sont celles de l'apôtre Paul, et de Jésus lui-même : afon que nous soyons pas confus...

QLSVB !